(Société Civile Média) – La deuxième édition du Mois de la diaspora africaine constructive qui se tient depuis jeudi 5 novembre à Lomé à l’initiative du Collectif des jeunes pour le développement (CJD) prévoit la création du Fonds d’Investissement et de Solidarité de la Diaspora Africaine (FISDA).
Le FISDA, à en croire ses initiateurs, se constituera de l’apport de la diaspora. Il consistera en la mise en place d’une plateforme numérisée, digitalisée et sécurisée avec un abonnement des potentiels investisseurs, des apporteurs d’affaires et de projets et tout ceux qui auront espoir qu’à travers cette plateforme ils pourront être mis en relation d’affaire et pourront se réaliser.
Le Fonds d’investissement aura pour but non seulement d’aider les Etats africains à réaliser leurs projets d’investissement, mais aussi d’aider les jeunes à trouver du financement pour leur projet.
« L’un des couronnements de la première édition du Mois de la diaspora africaine constructive a été la création de la Société africaine d’investissement et de gestion des entreprises (SAIGE). Nous avons beaucoup de projet en Afrique de l’ouest et nous pensons pouvoir dégager une partie des profits pour pouvoir alimenter ce Fonds. Nous aurons donc deux sources principales d’alimentation pour ce Fonds et bien évidemment, nous n’allons pas oublier les sources secondaires », explique Moïse KEREKOU, Conseiller général de la Société africaine d’investissement et de gestion des entreprises (SAIGE), créée dans le cadre de la première édition du Mois de la diaspora.
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La rencontre prévoit également la mise en place de la Maison du Savoir et des Opportunités (MSO). Selon Moise KEREKOU, cette Maison du savoir s’impose pour aider les Etats à réaliser leurs objectifs de croissance et aider les jeunes à sortir de la pauvreté et de la misère.
A noter que le bras financier de la MSO sera le Fonds d’investissement et de solidarité de la diaspora africaine.
Par ailleurs, des communications ont été faites sur ces différentes initiatives pour éclairer la lanterne des participants sur le bien-fondé de leur mise en place.