(Société Civile Média)- Dysfonctionnements des machines, nombre très insuffisants de machines dans certains centres, partialité de certains agents, pour les Universités sociales du Togo (UST), le processus de recensement en vue des élections locales n’a pas comblé les attentes. Dans un document intitulé « Monitoring du processus de recensement, mai 2019 », les UST ont adressé un certain nombre de recommandations au gouvernement togolais.
Les Universités sociales du Togo ont adressé six recommandations aux autorités :
-Interpeller la société ZETES pour qu’elle s’exprime sur la lenteur et les nombreux dysfonctionnements observes et qu’elle y apporte des solutions ;
– rallonger le nombre de jours de recensement sur l’ensemble du territoire national ou même prévoir une nouvelle phase après les corrections apportées par ZETES au système ;
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– commander un audit du fichier final après la révision ;
– accentuer la communication autour du prochain processus électoral (quasi inexistante à ce jour) ;
– mettre en œuvre ce processus électoral de manière concertée et participative ; seul moyen pour garantir la légitimité des futurs élus locaux ;
– accréditer d’avantage d’observateurs nationaux issus de la société civile et internationaux au vu de la faiblesse du recensement et du manque de volonté constate dans l’organisation de ces élections.
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