(Société Civile Média) – A la Fédération des Travailleurs du Bois et de la Construction du Togo (FTBC), on ne voit pas d’un bon œil le retour en force de l’Entreprise Bounkoungou Mahamadou et Fils (EBOMAF) à qui l’Etat togolais vient de confier la réfection de la route Lomé-Kpalimé, longue de 120km. Pour Ayao GBANDOU, secrétaire général de la FTBC, cette entreprise de BTP n’inspire aucune confiance, au vu de ses prestations très peu reluisantes dans le passé.
« Je peux vous dire qu’avec cette entreprise, nous avions travaillé depuis des années. Et on a même analysé les travaux qu’il a réalisés dans un passé récent et conclu qu’ils sont de moindre qualité. Nous avons des exemples. Actuellement, l’état des routes réaménagées par EBOMAF à Lomé laisse à désirer », a indiqué Ayao GBANDOU ce lundi sur radio Pyramide FM (propos relayés par Ici Lomé), craignant que l’entreprise burkinabè ne refasse un autre travail de piètre qualité.
Le responsable de la FTBC est par ailleurs revenu sur les conditions dans lesquelles vont travailler les personnes recrutées par EBOMAF pour la réfection de la National N°2.
« Pour les travaux de réfection de la route Lomé-Kpalimé, EBOMAF va essayer de recruter des gens. Ce que nous avons salué. Mais ce que nous redoutons, ce sont les conditions dans lesquelles ces Togolais seront recrutés », déplore-t-il avant d’ajouter que de nombreux ouvriers togolais recrutés par EBOMAF dans le passé n’ont pas été déclarés à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS).
A la Fédération des Travailleurs du Bois et de la Construction du Togo (FTBC), on ne voit pas d’un bon œil le retour en force de l’Entreprise Bounkoungou Mahamadou et Fils (EBOMAF) à qui l’Etat togolais vient de confier la réfection de la route Lomé-Kpalimé, longue de 120km. Pour Ayao GBANDOU, secrétaire général de la FTBC, cette entreprise de BTP n’inspire aucune confiance, au vu de ses prestations très peu reluisantes dans le passé.
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« Je peux vous dire qu’avec cette entreprise, nous avions travaillé depuis des années. Et on a même analysé les travaux qu’il a réalisés dans un passé récent et conclu qu’ils sont de moindre qualité. Nous avons des exemples. Actuellement, l’état des routes réaménagées par EBOMAF à Lomé laisse à désirer », a indiqué Ayao GBANDOU ce lundi sur radio Pyramide FM (propos relayés par Ici Lomé), craignant que l’entreprise burkinabè ne refasse un autre travail de piètre qualité.
Le responsable de la FTBC est par ailleurs revenu sur les conditions dans lesquelles vont travailler les personnes recrutées par EBOMAF pour la réfection de la National N°2.
« Pour les travaux de réfection de la route Lomé-Kpalimé, EBOMAF va essayer de recruter des gens. Ce que nous avons salué. Mais ce que nous redoutons, ce sont les conditions dans lesquelles ces Togolais seront recrutés », déplore-t-il avant d’ajouter que de nombreux ouvriers togolais recrutés par EBOMAF dans le passé n’ont pas été déclarés à la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS).
Pour rappel, EBOMAF a décroché la réhabilitation de la route Lomé-Kpalimé ainsi que l’aménagement des bassins de rétention d’eau de Todman, Segbé et Adidogomé puis des voiries pour un montant estimé à 214 milliards F cfa.
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