(Société Civile Média) – Comme annoncé, le projet de soutien à la préparation à la Réduction des Émissions dues à la Déforestation et à la Dégradation des forêts (REDD+) a fait son bilan à mi-parcours. C’était lors d’un atelier d’échanges tenu à Lomé le vendredi 7 juillet dernier par le comité national en charge du projet REDD+. Cette rencontre a été l’occasion pour les participants de faire le point sur la mise en œuvre des recommandations de la première réunion qui s’est tenue le 23 février 2017. Ce fut également pour eux le moment de discuter de l’état d’avancement du processus REDD+, ses principaux acquis, les difficultés rencontrées au cours de sa mise en oeuvre et les perspectives.
« Nous sommes à mi-parcours du projet et au terme des engagements nous sommes aujourd’hui à plus de 90% de décaissement y compris les engagements qui ont été pris pour le déroulement de ce processus « , a indiqué Assih Hemou, Coordonnateur national du projet REDD+.
« Je rends également toute ma gratitude au Chef de l’État, au Premier Ministre et à tous les ministres pour leur engagement en faveur de la gestion durable des ressources forestières, gage du développement harmonieux au Togo », a indiqué pour sa part André Johnson, ministre togolais en charge de l’Environnement.
Les acteurs, au terme de cette session à mi-parcours, ont analysé et adopté la requête de fonds additionnel à adresser au fonds de partenariat pour le carbone forestier afin de permettre au Togo d’achever son processus de préparation à la REDD+.
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Les principales activités à mener pour le reste du projet concerne la détermination du niveau de référence des émissions et des forêts et la mise en place d’un système de surveillance de forêt qui permettra de communiquer à la convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique le niveau de référence du Togo en matière d’émission.
Le projet REDD+ s’achève en 2019.