Togo-PASA : Le Fonds compétitif a financé environ 900 sous-projets

luzdelsol668
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(Société Civile Média) – Environ 900 sous-projets et fermes ont été financés par le fonds compétitif du Projet d’appui au secteur agricole (PASA), apprend-on de la cellule communication de ce programme.

Les financements de cet instrument mis en place par le ministère de l’Agriculture, de la production animale et halieutique ont concerné 188 sous-projets innovants, 474 fermes d’élevage commercial et 206 fermes piscicoles. La subvention allouée à chaque sous-projet va de 3,5 millions à 40 millions de francs CFA.

Le fonds compétitif est conçu pour contribuer au renforcement des capacités productives dans les filières végétale, animale et halieutique. Il vise les initiatives de production agro-sylvo-pastorale et halieutique et de transformation agro-industrielle et autres activités connexes.

Le fonds compétitif couvre 3 domaines. Le premier domaine concerne la diversification et la transformation des productions vivrières. Ici, il s’agit des sous-projets de transformation de produits vivriers togolais destinés aux marchés local et sous régional. A titre d’exemple, il y a l’amélioration du conditionnement et la transformation de produits vivriers, la mise aux normes pour aborder de nouveaux marchés, etc.

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Le 2ème secteur est celui de la diversification des cultures d’exportation, notamment les marchés sous régionaux et internationaux. Les sous-projets retenus dans cette catégorie visent à développer l’utilisation de procédés, de technologies, de méthodes de conditionnement, d’organisation de la production et qui améliorent la qualité y compris sanitaire, la compétitivité, le respect des normes commerciales internationales et contribuent à augmenter les volumes et la valeur des produits exportés (en frais conditionnés ou transformés).

Le 3ème niveau concerne le développement de l’aquaculture et de la pêche continentale. Selon le PASA, ce sont des sous-projets de développement de l’aquaculture visant la réhabilitation et le renforcement des infrastructures de production. Les exemples vont des aménagements d’étangs, de bacs, de cages piscicoles, d’unités de conditionnement, de conservation et de commercialisation de poissons.